Des cordes grinçantes, des cuivres et des claviers rampants, des choeurs fantomatiques, le tout dans une ambiance de piano-bar sordide des fifties, Timber Timbre sortait en 2011 un petit bijou d’indie-rock aussi noir qu’addictif. Voix de velours pleine de slapback, atmosphère de film d’horreur étrangement romantique, ce ‘Creep On Creepin’ On’ avait tout pour assumer la filiation magique des Tom Waits, Leonard Cohen et autres Nick Cave, la personnalité en plus. 
TIMBER TIMBRE « Creep On Creepin’ On »
